Centre Pompidou: exposition Paris-Delhi-Bombay...

En ce printemps 2011, le Centre Pompidou nous propose de plonger au sein de deux mondes artistiques contemporains différents, celui de l'Inde et de l'autre, la France. "Paris – Delhi – Bombay" permet une approche de la scène contemporaine indienne.











Peinture, sculpture, design, mode, cinéma… Le Centre Pompidou ouvre ses portes à plusieurs artistes français et indiens, issus de disciplines variées.



La violence, le bonheur, la sexualité, le chômage ou encore le bien et le mal…quelques-uns des thèmes qu’abordent ces créateurs lors de cette exposition.

Une présentation rare pour les amateurs d'art contemporain ainsi que pour les amoureux de l'Inde dans toute sa modernité.

"Paris – Delhi – Bombay" au Centre Pompidou, du 25 Mai au 19 Septembre 2011


Catalogue de l'exposition, avec en complément beaucoup plus d’œuvres et d'explication sur la naissance de celles-ci.




Mise à jour : si vous êtes encore tenté par l'Inde, il y a aussi la Saison Indienne au musée Guimet où sont présentées les œuvres contemporaines de l’artiste américaine d’origine indienne Rina Banerjee : " Chimères de l’Inde et de l’Occident ".





Sculptures sensuelles mêlant coquillages, crânes d’animaux, plumes et étoffes indiennes ; installations spectaculaires associant objets coloniaux et matériaux plastiques trouvés dans les rues de New York ; dessins oniriques aux couleurs exotiques mettant en scène la transe des corps… Déployées dans l’espace-temps singulier du musée, les œuvres de Rina Banerjee y expriment – sans doute davantage que dans l’espace vierge de la galerie d’art – les ambiguïtés de sa double appartenance au monde occidental et oriental, les illusions héritées du passé et les « chimères » des temps nouveaux, les contradictions du monde post-colonial et l’envers de la mondialisation.

Au sein de murs chargés d’histoire, saturés de signes sociologiques et religieux, les œuvres de Rina Banerjee révèlent, dans un panthéon de demi-dieux, de figures féminines à l’aspect guerrier et d’animaux fabuleux, la complexité du mixage des cultures et les incessantes luttes de pouvoirs des civilisations... Dixit le musée.